Quand dans son parcours de vie on rencontre des causes à une mauvaise intégration de réflexes archaïques :
Toutes les problématiques des troubles des apprentissages tous les dys (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysorthographie, dysgraphie…) les TDAH (déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité) les TSA (trouble du spectre autistique) ; les hyperactifs, les difficultés attentionnelles….
Les traumatismes physiques ou psychologiques survenus chez la maman pendant la grossesse.
Les traumatismes survenus lors de l’accouchement : position en siège, ventouse ou forceps, cordon ombilical serré autour du cou, césarienne : à noter que la chorégraphie effectuée naturellement par le nouveau-né au moment de l’accouchement est nécessaire à l’apparition et la bonne intégration de certains réflexes archaïques.
Les traumatismes psychologiques ou physiques survenus lors de la première année de vie : maladie, hospitalisation, séparation des parents, décès…
Les problématiques de phobies, de mal des transports, l’énurésie, l’encoprésie, manque d’estime de soi ….
Les réflexes sont toujours présents pendant notre vie par exemple si on tombe ; de façon réflexe le bras va se tendre, la main va essayer de saisir quelque chose pour se rattraper : c’est le réflexe tonique asymétrique du cou et le réflexe d’agrippement qui vont pouvoir réapparaitre ponctuellement pour éviter la chute. Cependant, lors de traumatisme grave, certains réflexes (réflexe de Moro, réflexe de paralysie par la peur) peuvent réapparaitre durablement et donner des peurs, des phobies, des angoisses, un syndrome dépressif ou un repli sur soi.

Pourquoi faire un bilan des réflexes archaïques

L'équipe pluridisciplinaire

Agnès DUMONT

Psychomotricienne diplômée d’état en 1997

SIRET : 42930713500039
ADELI : 1309601157

Antoine LAVAUD

Educateur spécialisé et sportif diplômé d'état en 2005

SIRET : 822 320 842 000 13